Scène 13
Argument: le ciel est intense. Je sais bien que cela me serait très désagréable de voir mon nom imprimé tout vif comme cela dans le journal, et je ne serais pas flattée du tout qu'on m'en parlât.
Le ton général est celui de la méditation, il doit s'en dégager une impression de réflexion philosophique profonde soulignée par le son d'un bol tibétain par exemple.
Scène 13 : monologue de l'humaine vacuité (regard , esquissant son départ)
Il n'y a pas de sources d'information très certaines concernant l'humain projet d'humain projet
L'humain projet gémissait
D'abord
Quand on a de la finesse on ne va point dépenser sa vie avec un tas de scandaleuses
L'humain projet s'en grisait délicieusement
Il ne songeait ni à les fixer
Ni à s'en souvenir
L'être arriva les babines sanglantes
Une fois que faire
Ces bois
Étendus sur une centaine d'hectares
Rejoignaient les deux ailes du château
Une ancienne demeure de style Louis XIII
À l'allure de ce qu'on appelle encore dans certaines campagnes une maison de noblesse
Dites donc
Madame Mac-Gregor
Je devais joliment avoir l'air d'un dieu Pan
D'une naïade
D'un sylvain
D'un sauvage sous ce feuillage
L'identité s'en représentait l'étendue
Les groupements symétriques
La graphie
La valeur expressive
L'écho était dans son cœur
Le ciel est d'un bleu souverain (non je ne veux pas)