Scène 25
L'identité humaine apparaît face à un miroir, très statique, presque comme une statue. Elle édbite son texte de façon mécanique, saccadée; elle ne semble pas concernée par ce qu'elle dit. À la fin elle s'allonge sur le sol, tours dos au public. Musique: Steve Reich, musique pour Marinbas.
Argument: sous un soleil oblique. L'identité humaine sans lui dire mon nom, ni me dire le sien, sans doute à cause des difficultés qu'elle avait eues avec mon grand-père.
Scène 25 : discours de l'identité humaine (des yeux encadrés de sourcils délicats, Un court temps où elle se regarde puis se précipite en coulisses)
Il y a tant de choses que nous ignorons et que nous ignorerons toujours de l'identité humaine d'identité humaine
L'identité humaine n'avait jamais d'avis qu'après sa femme
Dont son rôle particulier était de mettre à exécution les désirs
Ainsi que les désirs des fidèles
Avec de grandes ressources d'ingéniosité). - Voici Mme l'identité humaine qui a quelque chose à te demander
Ayant quitté sa lévite
Il endossa une robe de chambre
Couleur de bure
Passablement élimée
Allez
Tiens bon
Toute identité humaine est une série d'images inconstantes détour que l'amour n'est pas différent de son objet qu'il n'y a rien à chercher ailleurs
Identité humaine reprit donc en souriant :
Sous un soleil oblique (mon côté ankylosé, cherchant à deviner son orientation, s'imagine, par exemple, allongé face au mur dans un grand lit à baldaquin)